Un hautbois ouvre cette section mélancolique, rejoint par une clarinette.
Ils dialoguent en arpèges avant l’arrivée d’un troisième soliste… le saxophone !
Rachmaninoff célèbre sa terre d’accueil, l’Amérique, en choisissant de confier cette mélodie au saxophone, rarement utilisé dans les orchestres de l’époque.
Déjà affaibli par la maladie, Rachmaninoff dédie cette ultime partition à Dieu pour le remercier de lui avoir permis de la terminer.
Ah, Rachmaninoff me bouleverse !